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l humeur de volavoil
28 décembre 2009

Les Mayas, l'une des plus fascinantes

01Les Mayas, l'une des plus fascinantes civilisations que la Terre ait portées, nous ont transmis une prophétie : leur calendrier prend fin en 2012, et notre monde aussi. Depuis, les astrologues l'ont confirmé, les numérologues l'ont prédit, les géophysiciens trouvent cela dangereusement plausible, et même les experts scientifiques gouvernementaux finissent par arriver à cette terrifiante conclusion.
La prophétie maya a été examinée, discutée, minutieusement analysée. En 2012, nous saurons tous si elle est vraie, mais quelques-uns auront été prévenus depuis longtemps...
Lorsque les plaques tectoniques se mettent à glisser, provoquant de multiples séismes et détruisant Los Angeles au passage, Jackson Curtis, romancier, et sa famille se jettent à corps perdu, comme des millions d'individus, dans un voyage désespéré. Tous ne pourront pas être sauvés...

Critique express: Je suis un grand fan de Emmerich donc je ne ferais pas la critique débile et faux-cul que les spectateurs ont faites en sortant de la salle. Je ne comprends pas comment les gens crachent à ce point sur ce film! Car quand on va voir 2012, on sait ce qu'on va voir!!! Quand j'entends les "c'est trop gros, le scénario est bidon", j'ai envie de foutre des claques! 02Vous allez voir un Roland Emmerich merde!!! Vous attendiez quoi ? de la subtilité et de la tendresse ? Merde vous avez payé 10 euros pour aller voir un film avec la planète en train de peter dans tout les sens! C'est comme si vous alliez voir Godzilla et qu'en sortant vous vous exclamez:"Pff, un monstre de 100 mètres de haut, c'est n'importe quoi". Emmerich ne trompe pas sur la marchandise! Alors vous plaignez pas, ASSUMEZ (moi j'assume, ou presque, mon penchant pour les comédies romantiques)! Car Emmerich aussi assume! Il fait des blockbusters! Des fois il les fait bien (The Day After Tomorrow) des fois moins bien. 2012 outre d'être une perle numérique, manque cruellement de position. Là où Emmerich faisait des clins d'œil sur l'intolérance nord américaine sur l'Amérique du sud dans Le jour d'après, là, il ne se livre qu'à une version bigger de ses précédents films. C'est un blockbuster classique, trop long parfois (la fin est interminable) mais au moins qui ravira les papas pro home-cinéma.

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